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6 avril 2011 3 06 /04 /avril /2011 01:48

Le vent se lève, le liston est dans l'eau... il est temps de prendre un ris.  Moi ce qui m'a étonné ce sont les efforts que certains font pour une manoeuvre ma foi assez simple..

 

D''abord, je suis persuadé que c'est plus facile à faire avec des bosses se trouvant au mat... mais on va me trouver rétrograde. Voyons donc les "erreurs" classiques (à mes yeux):

 

1. Se mettre face au vent pour déventer la voile. J'ai lu `cà dans de nombreux manuels et pourtant c'est pas la meilleure manière. En fait on reste au près (même bon plein) et on dévente la GV en la choquan. Les raisons en sont très simples:

  • Face au vent la bôme part dans tous les sens et on ne sait plus ou se mettre. Au près cést donc moins dangereux.
  • Face au vent on risque dárrêter le bateau qui finira par prendre le travers et alors la manoeuvre se complique.

2. Deuxième erreur courante: tirer comme un forcené sur cette foutue bosse de ris (parfois meme avec un winch) ... pauvre bosse. Un ris se prend sans efforts...(meme par temps bien etabli) cela peut se faire en douceur et avec peu de force, si on ne tente pas l'impossible. L'impossible etant de vouloir hisser la bome a hauteur de l'oeillet de ris en se servant unquement de la bosse ..

En effet l'angle entre la bome et la bosse devient de plus en plus aigu a mesure que l'on souque celle-ci et donc a un certain moment la bome est pousse vers l'avant plutot que vers le haut et on a donc des problemes a la faire monter.

Si par contre on se sert de la balancine pour monter la bome vers l'oeillet de ris (ce qu'on appelle "mater" la bome)  cela va tout seul; donc sans efforts et sans raguage au niveau de l'oeillet. La monoeuvre consiste donc a choquer l'ecoute, choquer le hale-bas et tirer en grand sur la balancine avant de tirer sur la bosse. 

 

 

prise-de-ris.jpg

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2 décembre 2010 4 02 /12 /décembre /2010 01:43

Dans ma précipitation à entamer la nav astro, j'ai omis de commencer par le début. A savoir  ce qu'est une position pour un bateau. J'entame donc ici quelques notions de base, telles que la Longitude (L) et la latitude (l) ou encore le Mile Nautique ainsi que des notions telles que la projection des cartes et la variation du compas.

 

A la croisée des chemins.

 

Imaginons que je sois a bord de mon bateau quelque part au milieu de l’Océan Atlantique A la latitude de N 28 degrés 25 minutes et la Longitude de W 29 degrés et 10 minutes. Que signifient ces chiffres? En fait il s'agit d'une manière de diviser la sphère terrestre au moyen d'angles.

 

Si on prend l'axe de rotation de la terre, on trouve a chacune de ses extrémités un point qu'on appelle pôle. Au Nord c'est le Pôle Nord et au sud, le Pôle Sud. Ça vous le savez.

 

Longitude:

 

A présent, imaginons que je coupe la terre en deux, bien perpendiculairement à l'axe et exactement au milieu, j'obtiendrais un (grand) cercle, c'est l''Équateur. Je pourrai diviser ce cercle en 360 degrés ou en deux fois 180 degrés  Mais pour cela il me faut un point de départlongitude.jpg

(le zéro) car tout le monde sait qu'un cercle n'a ni début ni fin. On a arbitrairement choisi comme point zéro un point situé sur l'équateur situé exactement au sud de ll'observatoire de Greenwich (Londres en Angleterre). A partir de ce point je puis donc faire passer un tas de Grand Cercles reliant les pôles et formant un angle mesuré sur l'équateur, par rapport au Méridien zéro. Si on est dans la moitié située a l'Ouest de Greenwich on dira par exemple je suis a 29 degrés à l'ouest de Greenwich (W29*)

 

Latitude

 

En ce qui concerne la latitude, (et c'est là que vous serez étonnés), c'est exactement pareil: Il s'agit donc également d'un angle, mais mesuré cette fois sur le grand cercle perpendiculaire au cercle de l’équateur et qui passe par mon bateau... c'est le Méridien de ma position. Mais comme expliquer tout cela est plus long que de faire un dessin; en voici un ... tout chaud. On y voit bien que la longitude est un angle  mesuré sur le

 

Latitude

 

En ce qui concerne la latitude, (et c'est là que vous serez étonnés), c'est exactement pareil: Il s'agit donc également d'un angle, mais mesuré cette fois sur le grand cercle perpendiculaire au cercle de l'equateur et qui pass pa rmon

latitude.jpg

bateau... c'est le Méridien de ma position. Mais comme expliquer tout celà est plus long que de faire un dessin; en voici un ... tout chaud. On y voit bien que la longitude est un angle  mesuré sur le

cercle horizontal, à partir du méridien de Greenwich et la latitude est un angle similaire mesuré sur mon cercle Méridien.  Et oui Marcel pour connaitre mon point il suffirait d'aller au centre de la terre et de mesurer ces deux angles avec un sextant... chaud devant.

 

Distance

 

Mais abordons le problème depuis mon bateau, je veux savoir la distance qui me sépare de l’Équateur. Et bien c'est simple, je vous l'ai dit:  Je suis a 28 degrés et 25 minutes de l\Équateur. Et quoi Marcel ? tu me dis que tu veux une distance et pas un angle ? Moi ce que je te dis, c'est que c'est la même chose. Car les marins ont adopté une unité logique et pratique, à savoir le Mile Nautique, qu'en franglais on abrévié NM (Nautical Mile).

 

Mile Nautique (NM)

 

Et bien 1 NM est la distance équivalente à 1 minute d'angle à la surface de la mer. Pour rappel 1 degrés est  égal à 60 minutes; donc ma latitude étant de 28 degrés et 25 minutes . je suis à  (28 x 60)+25 =1705 NM de l’équateur Pratique non ? C'est pour cette raison qu'íl faut considérer un sextant comme un instrument de mesure de distance et non de mesure d'angles ... mais çà, Marcel,  c'est ce que j'explique dans l'autre article

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25 septembre 2010 6 25 /09 /septembre /2010 12:31


Pas plus tard qu'il y a quelques jours, je lisais dans une revue spécialisée, qu'ils conseillaient d'établir la courbe de déviation du compas avec... un compas de relèvement.

On pourrait à juste titre s'interroger sur le nombre de verre de rhum qu'il faut prendre pour donner un tel conseil.

Je m'explique:

 

1, Pourquoi le compas n'indique pas le Nord (magnétique):.

 

Les compas nautiques sont en fait rien d'autre qu'un cercle gradué, sur lequel on a place un aimant, dans l'axe Nord Sud de sa graduation. Pour faire simple l'aimant est attiré par le Nord et dès lors le disque pivote vers le Nord. Si le bateau se dirige vers le Nord (Magnétique) la ligne de foi doit correspondre exactement au Nord (ou à 0 degrés) du plateau de votre compas. Sauf:

 

  • si vote ligne de foi n'est pas exactement dans l'axe du bateau ou encore
  • si le compas n'estt pas bien usiné (c'est rare) ou
  • si l'axe de votre compas est abimé et que celui-ci bloque (c'est plus courant).

 

Ce sont des erreurs de l'instrument c'est pourquoi on les appelle erreurs instrumentales.

 

Mais il y a une autre raison (bien plus courante) de la déviation du compas: à savoir le magnétisme propre du bateau et des objets qu'il contient. Le moteur, par exemple est une masse métallique non négligeable, qui peut se magnétiser. Mais il y a aussi les circuits électriques. Parmi lesquels la lampe du compas notamment.. Ce deuxième type de source de déviation est la plus importante.

 

Enfin il y a les déviations accidentelles, dues a une boite de conserve placée près du compas, ou le portable et autres . Ces dernières sources, peuvent être évitées par la vigilance du skipper ou de la skippeuse.

 

2, Comment connaitre la déviation ?

Établir une courbe de déviation d'un compas permet de connaitre pour chaque cap la différence entre la lecture du compas et le Nord magnétique. Cela se fait en suivant sur une mer bien plate des caps différents de 15 en 15 degrés et en les comparant avec une mesure vraie. Au degrés près.

 

Ici le problème est d'avoir une référence extrêmement précise du cap suivi. Plusieurs méthodes sont possibles et d'autre ne la sont pas:

  • Par exemple, en comparant la mesure du compas de bord avec celle du compas de relèvement on ne saura de la déviation et en plus la mesure est mauvaise, car il est extrêmement difficile d'aligner un compas de relèvement au degrés près avec l'axe du bateau. Enfin,et c'est beaucoup plus grave les deux instruments subissent le magnétisme propre à votre bateau donc tout deux sont entachés de la même erreur, donc c'est pas possible en mer, même si c'est écrit dans le journal. Comment faire alors ?

 

Les méthodes:

 

1, On lit le cap magnétique sur le GPS et on le compare avec le celui du compas. On peut faire cela en une demi-heure., a condition qu'il n'y aie pas de courant.

 

Mais, me dit le petit Charly: “Comment faisait-on avant, que le GPS soit inventé ?pelorus4-17.jpg

 

2, Il existe une méthode très compliquée où on vise un alignement connu à l'aide d'un instrument qu'on ne trouve pratiquement plus que chez les antiquaires et qui se nomme un Pelorus. C'est ce que font les ajusteurs de compas. Pour ma part, je préfère utiliser un pelorus solaire, que vous trouverez ici

 

 

 

 

 

 

 

3, Pelorus solaire.

 

Vous collez le dessin sur une planchette de bois et faites un trou bien vertical en son centre. Dans le trou, vous mettez une petite baguette ronde, pas exemple une brochette de votre dernier barbecue ou une paille a boire peut importe du moment que c'est mince et droit.pelorus

 

Utilisation.

Vous naviguez bien droit et plein Nord (0 degrés au compas de bord) et vous tournez votre pelorus de sorte à ce que l'ombre du soleil soit sur la graduation 0 degrés. Une fois que c'est fait, vous regardez votre montre et vous notez l'heure a la minute près. Ensuite vous suivez un bord a 15 degrés, vous notez l'heure et la position de l'ombre sur le pelorus (elle doit être aussi de 15 degrés) et ainsi de suite de 15 en 15 degrés.

 

4, Explication.

 

Si on supposait le soleil fixe l'ombre sur le pelorus indique toujours la même direction et en tournant le bateau de 15 degrés l'ombre doit elle aussi tourner de 15 degrés Tu me suis Charly ?. Si ce n'estt pas le cas c'est parce que le compas me faisait croire que je tournais de 15 degrés mais ce n'est pas le cas.

 

La Déviation de mon compas sera donc la différence entre ce qu'indique l'ombre du Pelorus (l'angle vrai) et ce qu'indique mon compas .

 

Je sais Charly tu as raison de me e rappeler: le soleil n'est pas fixe il tourne de 15 degrés par heure, soit un degrés par 4 minutes, donc il suffit de soustraire 1 degrés par 4 minutes de temps, c'est pour cela que vous deviez noter l'heure.

 

Voila, vous savez a présent comment etablir votre courbe de déviation.

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30 août 2010 1 30 /08 /août /2010 16:57

plouf.jpgSi je commence par le drame de l'homme a la mer et de la facon de le repêcher, c'est parce que c'est, sur mon bateau le premier exercice qu'on fait, avant tout départ en croisière. Je garde a l'esprit, l'aventure de mon ami Jo nqui s'est appuyé sur une filiere e c'est retrouve a l'eau. La mer était chaude et plate et nous avons pu le repecher pas fier et fort rafraichi.. Depuis j'ai encore son cire dans l'armoire, mais il n'embarque plus. Je dois aussi preciser, que celui qui a le plus de chance de passer a la baille est ... le skipper, c'est a dire moi-meme, et comme je ne navigue que tres rarement avec des "pros" il me faut une manœuvre simple qui puisse être pratiquée par tous. ... ce n'est pas tout a fait le cas de celle qui est décrite dans le manuel des Glenans ou qu'on enseigne dans la plupart des écoles de voile. Voici donc cette manœuvre "secrète".

 

1. La manœuvre.

 

a.  Arrêter le bateau

Au moment du plouf! une seule chose compte: arreter le bateau le plus rapidement possible pour ne pas s'éloigner de la victime.  Comment faire ? Oubliez toutes les "mises a capes et autres fantaisies qui ne marchent que mal sur les bateaux légers actuels. La seule chose a faire est de:

 

1. Pousser la barre vers la bome et la garder la. Sur Kishmir 4 j'avais place des sangles avec boucle a cliquet pour fixer la barre.

 2. Border la grand voile.

Ceci fait,  que le bateau tourne sur place et dérive très peu, on a donc temps de reprendre ses esprits. N'oublions pas de baisser la tète et habituons nous au bruit de la voile qui bat.

b. S'occuper du gars qui est a l'eau 

1.Suivre la victime des yeux. Si on est plusieurs, on chargera des le plouf celui qui ne barre pas de le faire. C'est a dire qu'il pointera l'index constamment dans la direction du nageur. 

2. Lancer la bouee fer a cheval avec son feu a retournement (même en plein jour (l'orage peut survenir.

3. Lancer le Lifesling (bouée attachée au bateau.) 

L'idée est que le type a l'eau attrape de préférence le lifesling. Pour se faire il fait mieux de tenter d'attraper le bout (flottant) plutôt que la bouée elle même, car le bout mène a la bouée. Si le bateau derivait trop, il lui reste la bouée fer a cheval. 

4. pousser la touche « homme a la mer » du GPS.

 

c. tenter de le repêcher.

1. A la voile: oubliez les manœuvres hasardeuses ou on remonte au pres vers la victime pour faire un demi virement de bord et venir mourir face au vent. Je doute que vos equipiers en soient capables . Tenter plutot  de faire en sorte que la victime attrape le lifesling ou d'autres ficelles que vous laisserez trainer a l'eau.. La partie est "gagnee" une fois que le malheureux est "attache au bateau. On essaiera donc de tourner autour de lui ; en allant vers lui et en refaisant (plus près de lui la manœuvre  décrite sous a.1.

 

2. au moteur on s'approche de la victime et on remonte un peu le vent. ensuite on fait comme en A1 et on arrête le moteur

d. le remonter
Une fois attaché au bateau, si possible avec le lifesling on grée le palan qui est au fond du sac du lifesling et on l'attache a la drisse de spi. on détache les filières (si c'est possible et on remonte la victime... c'est le plus difficile. Attention, le palan doit être monte a au moins 2m50 de la surface du pont. Il est également bon de prévoir au bout des filières un petit bout en cordage nylon de 5mm que l'on transfile plusieurs fois afin , le cas échéant de pouvoir le couper pour ôter la filière et remonter plus facilement le naufrage.

Se remonter.

Imaginons que vous naviguiez en solitaire et que, vous etes attache avec un harnais, mais sous le vent (Vilain! Vilain! Il faut toujours s' attacher « au vent », c'est a dire en haut de l'angle de gite.). Votre pied trebuche ou une grosse vague vous balaie et vous vous retrouvez a l'eau. Comment remonter ? Les atletes arrivent a faire de beaux retablissement (comme a la gym), mais les gens « normaux » ont trees difficile a le faire surtout avec un cire, un harnais des bottes etc. Voici une solution (que j'ai lue et pas teste), enez-vous au rail de fargue (bord du pont) et allongez-vous le plus possible sur le dos. L'idee est de passer une jambe au dessus du rail et de se « hisser » en roulant sur sois meme, avec un peu de gite (inclinaison du bateau) ce n'est pas trop difficile.



2.  Note: en passant retenez ;

  1. Si vous êtes hélés par le bateau laissez-vous trainer sur le dos de sorte a ne pas boire la tasse.

  2. Si vous etes a bord et qu'un equipier est hele par le bateau, utilisez toujours un winch ou un palan pour le ramener.

  3. Un homme a la mer est toujours un risque de vie. N'hesitez pas a envoyer un MAYDAY., remonter quelqu'un n'est pas facile.

  4. Attachez-vous le plus possible avec un harmnis. Meme par beau temps. Par l'habitud, le harnais devient de moins en moins encombrant et permet meme des audaces qu'on ne risquerait pas « sans ».

 

3.  Matériel de Sécurité. 
Pour reussir cette manœuvre il faut prevoir:

  • .Bouée fer a cheval

  • LifeSling

  • Un palan a 6 brins (ancienne écoute de GV) mis dans le sac du lifeSling.

  • des attaches en sangle de nylon (avec une boucle) pour fixer la barre sur chaque bord..

  • Le surfilage des filières en acier pour pouvoir les retirer facilement.

  • Des harnais pour tous

  • Chacun doit aussi avoir en poche un tube de cyalume (tube fluorescent) ou une lampe flash étanche

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28 août 2010 6 28 /08 /août /2010 17:30

Ainsi donc, me voilà "sans". Certains disent que les deux moments de bonheur intense que connait un propriétaire sont le jour où il achète son bateau et... le jour où il le vend.

 

Pour moi c'était tout le contraire : deux moments angoissants. Mais 40 ans ont sépré l' achat de monpremier KISHMIR, (un jaguar 22, 6m60) et la vente du "dernier"KISHMIR 4  (un Comet de 11 m.) et cést 40 annees furent une... vie, intense pleine de bonheur, de craintes, d'emotions et parfois, il faut bien le dire aussi, de grosse frayeurs. ... mais par la suite on en rit... C'est sans doute pour cela quón me prénomme Henri (je sais c'est un peu nul )..

 

Alors durant ces 40 années j'ai accumulé de l'expérience et rassemblé par mes lectures et l'étude, un tas de petits trucs, de petites ficelles. Permettant par exemple de calculer une route avec une marée traversière, de faire un point à l'ancienne avec un sextant, de prendre un ris sans peine, ou encore d'arreter un voilier pour repêchher un équipier passé à la baille. Cést la le but de ce blog.

 

Brièvement, je vais tenté de me décrire :je m'appelle Henri (vous l'averz compris), j'ai 62 ans,  je suis belge et j';ecris le plus souvent sans accents (il faudra vous y faire). Apres avoir ete tour a tour ou a la fois, chef déntreprise et diplomate, j' ai aidé à créer la première societé de charter de voiliers aux Maldives. Actuellement j'exerce la profession de graphiste.

 

Une constante dans cette vie adulte" fut la voile, qui me permettait de prolonger l' enfance et le rêve. Elle m' a amenée à faire des croisieres et des traversées océaniques:  Transats par les al;yzés, Atlantique Nord, Ocean Indien. Me permettant de raser les cailloux au Yemen, aux îles Maldives, en thailande, a St Pierre (et Miquelon), au Newfoundland ou a New York.

 

  J'ai commencé à faire du dériuveur à l'age de 14 ans, très sporadiquement au debut. a 23 ans j'acquiers mon premier bateau: le fameux Jaguar 22jag22, avec lequel je navigue (ou explore) la Zélande et le languedoc roussillon (il avait une remorque).

 

Ce bateau m'a appris, plus que n' importe quel autre, les manoeuvres par gros temps... car pour lui le "gros-temps"commencait a 4 Beaufort. sous tourmentin et trois ris, on arrivait tout juste a tenir la barre. Tous mes bateaux par la suite furent lestes correctement. Je vous recommande donc de sacrifier un peu de vitesse dans le petit temps pour un bateau raide a la toile.

 

 

 

 

 

Le "Deux"fut un Splinter de Van de stadt

splinter.jpg

(lest 50%),

Ensuite  un Compromis 909, compromis(j'ai fait rajouter un bulbe de 250 kg) 

 

 

 

et le dernier: un Comet (bulbe rajouté de 500 kg). C' est dire que j' aime la raideur de toile... mais il faut du vent et un bateau solide. 

 

Voilà! je crois que ca suffit comme intro... la prochaine fois, je vous parlerai plus "technique"et ... plaisir bien sur..

 

bon vent!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

comet-11

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28 août 2010 6 28 /08 /août /2010 17:18

Ceci est un blog consacré aux trucs et ficelles de la navigation à voile. Venant de vendre mon bateau, je profite pour renaviguer en rêve et vous livrer mes petits secrets.

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